Concentration

Concentration

Les joueurs et les entraîneurs de Volley-ball sont tous d’accord pour dire que le mentale est  une qualité décisive dans notre performance sportive, pourtant la majorité d’entre nous  ne faisons rien pour améliorer ces capacités.

 

« Ce ne sont pas le choses qui nous dérangent, mais la vision que nous en avons ». Epictète

 

De nombreux athlètes croient à tort qu’il ne faut se concentrer qu’en compétition. Pourtant, le dicton qui dit que « c’est en s’entraînant qu’on atteint la perfection » s’applique tout à fait aux aptitudes de concentration. A l’instar des autres aptitudes psychologiques, la concentration se développe à force de travail et d’engagement. La victoire ou la défaite tient souvent à une petite perte de concentration.

 

Qu’est-ce que la concentration ?

La définition pratique de concentration comporte deux partie : la focalisation de l’attention sur les information pertinentes qui émanent de l’environnement (plan de jeu pendant l’échauffement, suivi des option de l’adversaire pendant le match, écoute et recherche d’atteindre l’objectifs lors des entraînements), et ce qu’il est plus difficile le maintien de cette focalisation. Les psychologues sportive on prouve la  relation directe entre l’attention et l’amélioration de la performance.

La concentration est donc l’aptitude à focaliser l’attention sur les informations pertinentes de l’environnement.

 

Pertinence :

Il faut éliminer ou ignorer tous les informations inutiles.

 

Maintien de la focalisation de l’attention

Chris Evert n’était pas la joueuse la plus talentueuse du circuit féminin, mais elle n’avait pas d’égale pour conserver sa concentration tout au long d’un match. Elle n’était pratiquement dérangée par des informations inutiles, mauvaise décision arbitrales, bouffonneries de l’adversaire, la foule, ou le commentaires de ses partenaires. Sa concentration a fait d’elle une champion.

Supposons qu’en fin d’un match important au moment d’un  point décisive vous égarez votre esprit dans l’importance du match pour l’avenir et le future de l’équipe et la compétitions , cet distraction peut nous coûter le point et peut-être l’impossibilité de revenir au score ultérieurement. Il faut penser  uniquement au moment présente « carpe diem ».

 

Fatigue et concentration 

Il est certain que la fatigue affecte la concentration. Lors que le corps est épuisé, il est parfois difficile de garder l’esprit présent pendant de longues périodes. Des qu’on se sent fatigué, il faut se forcer à se concentrer davantage.

 

Difficultés d’attention

1) Le poids de l’erreur du passe ou de l’erreur récent. L’inquiétude du passé perturbe la concentration du présent et nous conduit à l’échec.

2) L’inquiétude de l’avenir, si on se concentre sur les conséquences de certains gestes, cette façon de penser se traduit souvent par l’interrogation « Et si » :

Je loupe encore mon attaque, je rate encore ma réception, si je loupe encore mon service, ce genre de réflexion et d’inquiétude orientées vers l’avenir influence la concentration de façon négative et augmente la probabilité de l’erreur et de contre-performance (le coach et vos coéquipiers  il vous font confiance et vous avez le droit à un marge d’erreur et nous sommes là pour rattraper vos erreurs). L’inquiétude n’est pas seulement une distraction, elle est aussi la cause d’une tension musculaire qui nuit encore d’avantage à la performance. Ce genre de pensée est d’aucun utilité il égare votre esprit du présent sans raison.

3) Les joueurs de volley utilisent un type de concentration Large- externe. Large car doive évaluer rapidement une situation, externe car leur performance dépend de plusieurs informations de l’adversaire. Les volleyeurs sont souvent victimes d’une distraction par manque de pertinence car ils ont tendance à avoir un surcroît d’information. Parfois nous voulons faire trop bien pour prouver aux autres nos qualités, nous devenons tendu et il résulte une contre performance qui nous met dans l’embarras et nous crispe d’avantage (joué relâché et confient pour éviter ça).

4) L’excès d’analyse de la mécanique corporelle, la concentration exagérée sur la mécanique du corps et des mouvements constitue un autre genre d’attention inadéquate. Lorsqu’un geste est bien appris, un surcroît d’attention accordé à la mécanique corporelle est nuisible à la performance. Lorsqu’on apprend une nouvelle technique, il faut se concentrer intérieurement afin d’avoir la sensation kinesthésique du mouvement. Lorsque  vous tentez d’intégrer un nouveau schéma corporelle il est normal que votre performance soit inégale (l’entraînement serve a se concentrer sur une amélioration technique ou tactique toute en améliorant la sensation de mouvement), la difficulté surgit lorsque on continue a réfléchi une fois que le geste est acquis, à cet étape le geste devrait être automatique et la concentration porté sur ce qu’on fait et sur le mot clé déclenchant la concentration.

Pendant la compétition l’accent mis sur la technique et la mécanique des mouvements nuit à la performance car l’esprit devient un obstacle pour le corps, plus vous analysez, plus vous risque de couper le rythme naturel du mouvement qui permet de réagir vite et prendre de décisions pertinents.

 

L’effondrement

Lorsqu’on parle d’effondrement on pense à une contra performance à un moment important de la compétition cependant l’effondrement est un processus qui provoque une détérioration progressive de la performance.

Nous pouvons reconnaître l’effondrement car il survient habituellement dans une situation importante et chargé d’émotion, joué en compagnie de copains peut être aussi stressant pour certains individus que de jouer en compagnie des inconnus. Lorsque on ressent la pression les muscles se tendent, la fréquence cardiaque et respiratoire s’accélère, la bouche devient sèche et le mains moites, c’est l’attention qui est principalement perturbe, au lieu de se tourner vers les indices pertinents de l’environnement il est porte sur les inquiétudes et les craintes de perdre ou échouer. En même temps, l’augmentation de la pression réduit la capacité de modifier le niveau d’attention enfin la coordination est compromise, la fatigue et la tension musculaire s’installent et la prise de décision est appauvrie.

 

Le Monologue Intérieur

Les pensées et vos commentaires influencent grandement les réactions émotives aux événements. La plupart des gens croient que ce sont les événements eux-mêmes qui déterminent leurs réactions physiques et émotives, mais tel n’est pas le cas. Les événements eux-mêmes ne provoquent pas la dépression, la colère, l’anxiété, le désespoir ou la frustration. C’est la façon dont l’événement est perçu qui influence la réaction. Le monologue intérieur joue un roll capital dans la réaction aux situations et plus tard il influence les actions et sentiments.

Le monologue positif qui aide à la concentration sur le présent il comporte habituellement un composant de motivation. Exemple « je suis capable », « je ne lâche pas », ou directive « il faut que je garde mes yeux sur le ballon », « que je ne tourne pas trop mes épaules ».

Le monologue négatif, on se critique et on se diminue il est un obstacle à l’atteint de ses objectifs, il va à l’encontre du but recherche et il provoque l’anxiété. On ne favorise pas sa performance lorsque on se dit « quel coup stupide », « tu est vraiment nul », « comment je peut faire autant de faut » cet type de discours provoque l’anxiété et la doute.

 

Utilisation du monologue intérieur

1) L’apprentissage d’une nouvelle technique, utilisez des mots clés à fin de déclencher le mouvement.

2) Pour perdre une mauvaise habitude (parasitage) change vos mots clés pour de nouvelle plus efficaces afin d’automatiser la nouvelle réponse (auto-instruction).

3) Pour déclencher l’action, le monologue intérieur peut servir de motivation, de mots clés vite, fort etc.

Maintenir l’effort, de mot clés afin de soutenir un effort souvent est plus difficile que de le démarrer.

 

Techniques d’amélioration du monologue intérieur

1) Interruption des pensées (une façon d’agir au penses négatives consiste à les interrompes avant qu’elles nuisent à la performance. Il faut se concentrer sur les penses indésirables et ensuite les vider de l’esprit. Le mot stop peut être un moyen efficace. Et se reconcentrer ensuite sur des informations pertinente. Il faut s’entraîner a se dire stop s’il est nécessaire à haut voix au debout car leurs vielles mauvaise habitudes ne disparaissent pas aisément.

2) Passage de monologue négatif au positif. Consiste à réorienter l’attention vers l’encouragement et la motivation

Pour vous entraîner car le pense négatif vient en situation de stress, essayes d’abord d’interrompre le pense négatif par un mot clé prenez une respiration profonde et répétez l’énonce positif.

 

Mesure des capacités de l’attention

Avant d’améliorer votre concentration, vous devriez pouvoir déceler vos difficultés, apprendre à reconnaître vos insuffisances. Les individus dont la capacité d’attention est adéquate peuvent traiter plusieurs stimuli sans être surchargés et peuvent réduire leurs champs d’attention sans perdre d’information important. Par contre les individus inefficaces au plan de l’attention sont facilement confus en présence de plusieurs stimuli. Les individus qui éprouvent des difficultés d’attention doivent apprendre à modifier à volonté la direction de leur attention et à élargir ou rétrécir leur champ d’attention selon les exigences de la situation.

 

Conseils pour améliorer la concentration sur place

1) Entraînez-vous en présence de facteurs de distraction

2) Utilisez de mots clés (le mots clés doivent porter sur la tactique, la technique ou être motivants.

3) Utilisez une pensée qui ne comporte pas d’évaluation, la tendance des athlètes à évaluer la propre performance et à la juger bonne et mauvaise, est l’un de principaux obstacles à la concentration. Des tels jugements provoquent souvent des réactions personnelles qui mettent en jeu le moi. De tel type d’évaluation est suivent accompagne de  pensées négatif  qui provoquent une perte de fluidité, de coordination et de rythme. Le cerveau prend le dessus sur le corps et provoque un excès de tension musculaire et d’effort, de pertes de concentration et de perturbations du processus de décision. Au lieu de juger la valeur de votre rendement et de décider s’il est bon ou mauvais, apprenez à analyser vos gestes sans le juger. Cela ne signifie pas que vous dévirez ignorer vos erreurs, mais que vous feriez mieux de voire votre performance pour ce qu’elle est afin d’éviter colère, frustration et découragement.

4) Mettez au point de routines. Par exemple lors de changement de cote prenez un respiration profonde et visualiser ce que vous entendez faire le prochain set puisse utilisé deux ou trois mots clés afin de vous concentrer avant de revenir su le terrain.

5) Entraînez vous a contrôler vos yeux. Nos yeux on tendance à s’égarer et se fixer sur de facteurs de distraction, la foule, les adversaires, l’arbitre, la colère de l’entraîneur ou d’un coéquipier plutôt que sur la tache a accomplir. Garder les yeux où il faut est plus difficile à dire que à faire.

6)Restez concentre sur le présent, sur ce que on fait ou on dit pendant chaque moment du match, utilisez de mot clés chaque fois que vous égare pour revenir.

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